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Putain, comment nous comprenons ce type et comment nous nous mettons à sa place. Il n’y a rien de plus addictif que l’odeur du con d’une femme mûre et cela peut devenir si enivrant que c’est comme boire une bouteille de vin entière. En l’occurrence, cette quinquagénaire avait des culottes sales pleines de sécrétions vaginales et son jeune amant a reniflé son con comme un toxicomane le ferait avec d’autres substances. Le type ne lui a même pas léché la chatte, ne lui a pas mis les doigts, ne l’a pas pénétrée, il a juste passé un bon moment à renifler une fente qui devait sans aucun doute sentir la gloire bénie.